L’un des coups bas vient des égyptologues qui ont ignoré délibérément la berbérité de l’Égypte remorquée à la Grèce antique, tout comme ils nous mentent sur bien des monuments, notamment la grande pyramide, attribuée arbitrairement à Khéops, ce monument qui fait toujours couler de l’encre tant par son gigantisme et le mystère qui entoure sa construction que par l’intelligence de ses mesures qui frôlent les règles des mathématiques et de la géométrie modernes. Nous y verrons que le vrai nom de l’Égypte, Misra, ses lieux, ses pharaons, ses illustres personnages portent tous des noms berbères.

Je rends ici justice à ce grand peuple enraciné dans le temps, qui a survécu à toutes les ignominies de l’Homme ainsi qu’à la dureté du temps. On ne peut éviter les Atlantes, les habitants de cette île mythique sise sur le territoire berbère, eux aussi des Berbères, peut-être les précurseurs des connaissances des Égyptiens, dont la terre était engloutie par les flots de l’océan atlantique suite à un cataclysme naturel d’origine inconnue, un récit véridique qu’il en déplaise aux scientifiques qui l’ignorent plus par mépris, paresse ou intérêts, que pour d’autres raisons, plutôt de drôles de scientifiques.