Pour info
Cette œuvre est le journal d’une agression à la « terroriste » contre ma personne, à deux reprises, dans les années deux mille. Mon souhait est de traduire tous les coupables en justice dans le pénal ; hélas, pour le moment, ce sera dans le civil, encore la prescription prend fin bientôt. Je tenterai d’abord une solution à l’amiable, soit dans un procès soit contre un paiement des dommages et intérêts que nous établirons en présence de nos avocats ou en privé. Au fait, deux des coupables principaux, la commanditaire de toute cette machination et l’un des deux agresseurs, sont ici en France en tant que réfugiés qui ont obtenu la nationalité française. Oui, vous avez bien entendu : un « terroriste » qui a obtenu le statut de réfugié et même la nationalité française alors qu’un article de l’OFPRA exige que le demandeur de sa protection soit de bonne morale, les mêmes conditions exigées pour demander la nationalité française ! Je crois que la malfrat avait réussi à tromper l’OFPRA qui, à son tour, a trompé la Préfecture.
Cette œuvre fait partie du plan B. Le plan A est le procès ; pour tout échec Le bal des mouches prendra le relais. Vous serez tenu au courant des moindres détails de cette affaire dans cette page, tout comme je compléterai Le bal des mouches.
Table des matières
LIVRE I Le regard qui a failli tuer
Avertissement…
Premier avant-propos…
Deuxième avant-propos…
1 Un regard pas comme les autres…
2 En fait, une bulle d’air !…
3 L’intrus mais indispensable mari…
4 Nif de dominés…
5 Nif de dominés, suite et fin…
6 Une petite peste ?…
7 Lâcheté quand tu nous tiens !..
8 Une autre facette du nif…
9 En quête d’une solution…
10 Des boucs et des chèvres sans berger…
11 Un manège de garce…
12 L’acharnement…
13 Des remous, encore des remous…
14 Un peu de karma ou de justice divine…
15 Derrière l’agression, des gueux en guerre…
16 Une querelle enracinée dans le temps…
17 Une pause pour voir plus clair…
18 Postface…
Annexe…
Rapport n° 1…
Rapport n° 2…
Rapport n° 3…
Rapport n° 4…
Notes…210
LIVRE II Le Testament des Aït-Hend 270
LIVRE III Le maraboutisme en Kabylie, origine et rôle 285
LIVRE IV La face cachée d’Aït-Ahmed ou son vrai visage 300
Sommaire
1. Genèse
2. Le revenant
3. Ahlil 1,2,3 (sources pour les juges)
1. Genèse
Au milieu de l’année 2012, suite à une troisième « agression », indirecte celle-ci, plutôt une intimidation de lâche, de la part du coupable principal H. H***, fort de son grade d’officier, de la famille H***, une querelle datant de début 1994, moi aussi fort de la publication de Jugurtha est de retour, je dépose plainte dans le civil contre lui et dix autres membres de sa famille, deux étant des complices, y compris des femmes. C’était dans le civil puisque leurs crimes sont prescrits après trois années. En fait, je voulais tester les magistrats du tribunal d’Azazga, la bête noire de beaucoup de gens bien et sans défense, moi parmi eux, d’autant que mon projet de m’installer en France se précisait avec un grand espoir, ce qui s’est réalisé en 2014. J’insinue au procureur, avec preuves, que ce procès peut lui coûter son poste… Aucune réponse pendant plusieurs mois. Je cherche après ma plainte ; on me répond qu’il faut voir le bureau du procureur. Je demande audience ; chose acceptée. Le jour de la visite, le magistrat préfère me donner des leçons de prudence, peut-être à cause de mon statut d’écrivain, et ajoute que mon dossier était vide et que je n’avais pas répondu à une convocation du tribunal pour une audition. Je lui réponds que je n’ai jamais reçu de convocation. Pour me débarrasser, il me conseille de réunir de vraies preuves et de voir un avocat. Pourtant, c’est mon droit d’être défendu par le procureur d’autant que je manquais de moyens financiers pour me payer un avocat : toujours au chômage, mon livre, un échec commercial, m’a ramené des miettes. Je sors et me pointe au bureau des envois et exige de voir la preuve de l’envoi de la convocation. Rien, même dans le registre. Je rédige une mise au point au procureur en lui rappelant que ses services devaient me convoquer avec un courrier recommandé, pas avec un courrier simple, ce dont je doute d’ailleurs. La faille se situe donc chez eux. Silence total.
Au fait, je devais m’estimer heureux qu’on ne m’ait pas enfermé, du moins malmené comme en 1994, une scène décrite dans Journal d’un petit Berbère, mon autobiographie, reprise dans ses grandes lignes dans Jugurtha revient, que je vous laisse découvrir et qui est facile être repérée. Je dois cette « impunité » aux manifestations de Kabylie, de 2001 à 2005, réprimées dans le sang pendant cinq longues années et l’on aurait continué sans l’intervention de la communauté occidentale, alors qu’on jouait pendant dix ans à la putain avec les égorgeurs de civils, de militaires, de gendarme, de policiers, d’écrivains, de journalistes. Avec mon statut d’écrivain, on avait peur d’une réaction massive. On venait juste d’éteindre le feu des miens. Autrement, on m’aurait enfermé.
La réponse du tribunal
a. L’originale
b. La traduction au français
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2. Le revenant
LE REVENANT
(notre cauchemar à tous)
De la part de Monsieur […]
[…] (c’est mon contact)
Sieur,
Chose promise, chose due (une question de temps, sinon c’est une question de procédure ce qui est pire). Sans une solution à l’amiable de nos parts, je vous déposerai plainte dans le civil, comme me le permet la loi française dont la prescription est limitée à trente ans après les actes (avant octobre 2025 pour inclure votre réunion à la terroriste organisée à ma mère, une pauvre et veille femme, et janvier 2026 pour votre agression à la terroriste chez moi devant ma maison). J’avertirais les médias, un journal et une télévision, sans compter mon site Internet. J’ai déjà informé l’OFPRA de toute cette histoire, dans le détail, et je vous ai déposé une plainte pour dommages et intérêts auprès du Tribunal d’Instance d’Ivry, vous en tant que coupable, votre femme en tant que commanditaire que vous pouvez consulter via ce lien.
Cela fait longtemps que je voulais passer à l’acte. Vous connaissant des lâches jusqu’à la moelle, je craignais que votre réaction que générerait l’ampleur de cette affaire achevât mes parents, surtout qu’ils étaient très malades les deux. Ensuite je me culpabiliserai de leur mort juste pour obtenir des dommages et intérêts et un acte d’accusation, car la prescription pour le pénal ne dépasse pas trois années. En effet, vous étiez condamnable de prison, comme un vulgaire voyou, voire un terroriste, ce qui se saura tôt ou tard, d’une manière ou d’une autre, la plus salutaire pour vous est la justice, donc il est de votre intérêt de coopérer. Maintenant, mes parents sont chez leur créateur.
Attention, il y a beaucoup d’événements qui jouent contre vous tous, que vous ignorez. Cherchez à les connaître, si vous ne voulez pas avoir de grosses et mauvaises surprises au tribunal, au cas où aucune solution n’est trouvée. Quant aux chefs d’accusation, ils sont répertoriés à la fin de cette missive.
Vous vous souvenez quand je vous disais qu’on se reverra ? Vous m’avez dit : « Quand tu voudras… » Joignant à votre parole un geste grossier digne d’un individu élevé dans un bordel ! Votre : « Je te la ramènerai puis… » Alors, préparez-vous, le moment est arrivé. Je ne frappe jamais par derrière ni sans avertir, ce qui a fait ma réputation au village, en déplaise aux lâches de votre belle-famille tout autant que vous. Quand j’aurais fini avec vous deux, je m’occuperai des lâches du village, beaucoup de lâches !
Je vous avertis que si je suis mort avant la fin du procès ou que le procès n’aurait pas lieu, j’ai un plan B qui s’intitule Le bal des mouches. Il suffit d’un seul clic et le tour est joué. J’avoue que je préfère cette solution, mais je suis trop légaliste pour y aller directement. Un dernier point : si votre fils n’est pas au courant de son statut d’adopté (ahthith), informez-le pour son bien.
À bon entendeur !
L’accusation
Je vous en accuse, vous seul, de 42 chefs d’accusation répartis comme suit :
1er Réunion de famille organisée à ma mère : (Intimidation : reste à établir le Nombre de chefs d’accusation)
2ème Vous êtes venu jusqu’à la proximité de notre propriété (à établir avec l’avocat)
3ème « Moi je vais perdre l’argent de l’avocat pour toi!» Sous-entendu que vous préférez la violence que vous avez utilisé ensuite (à établir lors du procès)
4ème « Tu n’es pas un homme ! tu n’as pas de moustache ! tu es une femme ! » (3 insultes)
5ème « Il n’est pas un homme ! Il n’a pas de moustache ! Il est une femme ! » Que vous criez à l’assistance, ma famille et d’autres villageois (3 insultes)
6ème « Toi, tu as de l’argent ! » (à établir avec l’avocat)
7ème « Il n’est pas un homme, c’est une femme ! il n’a pas honte ! Il courre après ma femme et il a une fille ! S’il ne laisse pas tranquille ma femme, il passera par ma main, je le jure. (3 insultes + 1 diffamation + 1 menace de mort)
8ème Après un moment de discussion avec l’assistance qui vous suppliait de partir, vous répétiez les mêmes propos : « Il n’est pas un homme, c’est une femme ! il n’a pas honte. Il courre après ma femme et il a une fille ! S’il ne laisse pas tranquille ma femme, il passera par ma main, je le jure. » ( 3 insultes + 1 diffamation + 1 menace de mort)
9ème Encore les mêmes propos, comme si vous étiez ivre de votre lâcheté. ( 3 insultes + 1 diffamation + 1 menace de mort)
10ème Vous me frappez au visage violemment. (1 agression)
11ème Vous donniez votre version étriquée à M. K***, un enseignant d’arabe, ancien collègue de votre femme. (dénigrements : reste à établir le nombre de chefs d’accusation)
12ème À la sortie du village, quand je vous ai barré la route : « Tu es un malade. Un malade ! » (2 insultes, plutôt à établir avec l’avocat)
13ème « Tu n’as pas de moustache ! Tu n’es pas un homme ! tu es une femme ! » (3 insultes)
14ème « Tu veux saper son moral ! Tu t’attaques à une pauvre femme ! » (2 diffamations). Vous devez ramener vos preuves et le mémoire que je lui ai envoyé est clean.
15ème « Toi un écrivain ? Un idiot, oui. » (1 insulte)
16ème Vous disiez : « Pourquoi tout cela ? C’est de la diffamation ! » (1 diffamation)
17ème « Moi perdre l’argent de l’avocat pour toi ! » Sous-entendu vous préférez la violence. (à établir lors du procès)
18ème « Hé ! Je vais te la ramener pour t’exciter, ensuite je… » (à établir avec l’avocat).
NB Vous ne me l’avez pas ramenée… C’est ça votre parole, vous tenez juste les actes lâches ?
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3. Ahlil 1,2,3
Note : cliquez sur le stylo pour voir en avoir plein la gueule
Ce qui suivra est un contenu délirant d’une manipulatrice et de ses bouledogues qui s’énivrent de leur lâcheté et ne s’assument pas quand on leur met un miroir sur le visage.
A mon tour de jouer plutôt au chien enragé qui ne lâche jamais sans obtenir justice d’une manière ou d’une autre. Cette vidéo est pour la coupable. ▶️
J’ai divisé ce contenu en trois parties pour des raisons de compréhensions vu sa longueur, intitulé Ahlil volumes 1 à 3. Ahlil, un mot berbère, se dit d’une personne qui vit dans une bulle, refuse de reconnaître la réalité, un schizophrène peut-être. Dans un autre sens, il signifie « malheureux ». Cette personne est un drôle de spécimen, comme vous le verrez dans les fichiers que j’ai stockés dans le Cloud, consultables via les liens signalés. Toute cette histoire est consignée dans un Journal de plus de 200 pages, intitulé Le bal des mouches.
Ahlil volume 1 contient un panorama de 278 visuels (image avec message) d’amour, juste pour moi, imaginaires, dirait-elle, certains publiés tardivement le soir, alors qu’elle dormait à côté de son homme. 🎞️
Dans Ahlil volume 2, j’ai téléchargé tous ses messages publiés sur le mur de son compte Facebook de 2012 à 2016, année de la rupture de tout contact avec elle. En fait j’ai eu la preuve de sa manipulation en 1994 et 1996 ce qu’elle ne cessait de nier. Elle venait de récidiver vingt ans après, ce qui prouve que si elle avait agi ainsi à sa cinquantaine, elle l’avait fait à ses 30 ans. 🖋️
Ahlil volume 3 est une suite qui contient mes écrits dans lesquels je n’arrêtais pas de lui dire que tous les coupables, y compris elle, passeraient en justice, celle des hommes, sinon la mienne. Pour cette dernière, je pensais à l’écriture ; la vengeance, je l’ai effacée de mon registre dès mon jeune âge. Vous verrez, c’est fascinant comme spécimen. 🖋️