Pour info
Cette œuvre est le journal d’une agression à la « terroriste » contre A. K***, à deux reprises, dans les années 1994-1996. Mon souhait est que les coupable soient traduits en justice et dans le pénal ; hélas, pour le moment, ce sera dans le civil, encore la prescription prendra fin bientôt. Je tenterai d’abord une solution à l’amiable contre un paiement des dommages et intérêts que nous établirons en présence de nos avocats ou en privé. Deux des coupables principaux, la commanditaire de toute cette machination et l’un des deux agresseurs, sont ici en France en tant que réfugiés naturalisés français. Oui, vous avez bien entendu : un « terroriste » qui a obtenu le statut de réfugié et même la nationalité française alors qu’un article de l’OFPRA exige que le demandeur de sa protection soit de bonne morale, les mêmes conditions exigées pour demander la nationalité française ! Ils ont réussi à tromper l’OFPRA qui, à son tour, a entraîné la préfecture du 93.
La chronique qui suivra, intitulée Le bal des mouches, est le plan B. Le plan A est le procès ; pour tout échec la chronique prendra le relais, le solution que je privilégie. Vous serez tenu au courant des moindres détails de cette affaire dans cette page, tout comme je compléterai la chronique.
Table des matières
LIVRE I
Le regard qui a failli tuer
Avertissement…
Premier avant-propos…
Deuxième avant-propos…
1 Un regard pas comme les autres…
2 En fait, une bulle d’air !…
3 L’intrus mais indispensable mari…
4 Nif de dominés…
5 Nif de dominés, suite et fin…
6 Une petite peste ?…
7 Lâcheté quand tu nous tiens !..
8 Une autre facette du nif…
9 En quête d’une solution…
10 Des boucs et des chèvres sans berger…
11 Un manège de garce…
12 L’acharnement…
13 Des remous, encore des remous…
14 Un peu de karma ou de justice divine…
15 Derrière l’agression, des gueux en guerre…
16 Une querelle enracinée dans le temps…
17 Une pause pour voir plus clair…
18 Postface…
Annexe…
Rapport n° 1…
Rapport n° 2…
Rapport n° 3…
Rapport n° 4…
Notes…210
LIVRE II
Le Testament des Aït-Hend
LIVRE III
Le maraboutisme en Kabylie, origine et rôle
LIVRE IV
La face cachée d’Aït-Ahmed ou son vrai visage
Sommaire
1. Genèse
2. Le revenant
3. Ahlil 1,2,3 (sources pour les juges)
1. Genèse
Au milieu de l’année 2012, suite à une troisième « agression », indirecte celle-ci, plutôt une intimidation de lâche, de la part du coupable principal, H. H***, fort de son grade d’officier des pompiers, moi aussi fort de la publication de Jugurtha est de retour, je dépose plainte dans le civil contre lui et tous les coupables, dix autres membres de sa famille, deux étant des complices, y compris des femmes. C’est dans le civil puisque leurs crimes sont prescrits après trois années. En fait, je voulais tester les magistrats du tribunal d’Azazga, la bête noire de beaucoup de gens bien et sans défense, moi parmi eux, d’autant que mon projet de m’installer en France se précisait avec beaucoup d’espoir, ce qui s’est réalisé en 2014. J’insinue au procureur avec preuves que ce procès pourrait lui coûter son poste… Aucune réponse pendant plusieurs mois. Je cherche après ma plainte ; on me répond qu’il faut voir le bureau du procureur. Je demande audience ; acceptée. Le jour de la visite, le magistrat préfère me donner une leçon de prudence, peut-être à cause de mon statut d’écrivain, et ajoute que mon dossier était vide et que je n’avais pas répondu à une convocation du tribunal pour une audition en arabe que j’ai traduit en français. Je l’ai Je lui réponds que je n’ai jamais reçu de convocation. Pour me débarrasser, il me conseille de réunir de vraies preuves et de voir un avocat. Pourtant, c’est mon droit d’être défendu par le procureur d’autant que je manquais de moyens financiers pour me payer un avocat : je vis de l’écriture publique ponctuelle, de la correction de textes et de vente de l’euro. Mon roman, un échec commercial, m’a recupéré ce que j’ai financé, uniquement, à travers quleques centaines d’exemplaires. Je quitte le magistrat, me pointe au bureau des envois et exige de voir la preuve de l’envoi de la convocation. Rien, aucun registre ne mentionne mon nom. Je rédige immédiatement une mise au point au procureur en lui rappelant que ses services devaient me convoquer avec un courrier recommandé, pas avec un courrier simple, ce dont je doute d’ailleurs. La faille se situe donc chez lui. Silence total.
Au fait, je devais m’estimer heureux qu’on ne m’ait pas malmené comme en 1994, une scène décrite dans Journal d’un petit Berbère, mon autobiographie, reprise dans ses grandes lignes dans Jugurtha revient, que je vous laisse découvrir et qui est facile être repérée. Je dois cette « impunité » aux manifestations de Kabylie de 2001 à 2005, réprimées dans le sang pendant cinq longues années, et l’on aurait continué sans l’intervention de la communauté occidentale, alors qu’on jouait pendant dix ans à la putain avec les égorgeurs de civils, de militaires, de gendarmes, de policiers, d’écrivains, de journalistes. Peut-être qu’avec mon statut d’écrivain, on craignait d’une réaction tache d’huile ; on venait juste d’éteindre un grand incendie. Autrement, on m’aurait enfermé.
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2. Le revenant
LE REVENANT
(notre cauchemar à tous)
De la part de Monsieur […]
[…] (c’est mon contact)
Sieur,
Chose promise, chose due… Sans une solution à l’amiable de part et d’autre, je vous déposerai plainte dans le civil, comme me le permet la loi française dont la prescription est limitée à trente ans après les actes (avant octobre 2025 pour inclure votre réunion à la terroriste organisée à ma mère, une pauvre et veille femme, et janvier 2026 pour votre agression à la terroriste chez moi devant ma maison). J’avertirais les médias, un journal et une télévision, sans compter mon site Internet. J’informerai l’OFPRA et la préfecture du 93 de cette histoire dans le détail, et je vous ai déposé une plainte pour dommages et intérêts auprès du Tribunal d’Instance d’Ivry, vous en tant que coupable, votre femme en tant que commanditaire.
Cela fait longtemps que je voulais passer à l’acte. Vous connaissant des lâches jusqu’à la moelle, je craignais que votre réaction que générerait l’ampleur de cette affaire achevât mes parents, surtout qu’ils étaient très malades, tous deux. Ensuite je me culpabiliserai de leur mort juste pour obtenir des dommages et intérêts et un acte d’accusation. En effet, vous étiez condamnable de prison, comme un vulgaire voyou, voire un terroriste, ce qui se saura tôt ou tard, d’une manière ou d’une autre, la plus salutaire pour vous est la justice, donc il est de votre intérêt de coopérer. Maintenant, mes parents sont chez leur créateur. Plus rien ne me retient.
Attention, il y a beaucoup d’événements qui jouent contre vous tous, que vous ignorez. Cherchez à les connaître, si vous ne voulez pas avoir de grosses et mauvaises surprises au tribunal, au cas où aucune solution n’est trouvée. Quant aux chefs d’accusation, ils sont répertoriés à la fin de cette missive.
Vous vous souvenez quand je vous disais qu’on se reverra ? Vous m’avez dit : « Quand tu voudras… » Joignant à votre parole un geste grossier digne d’un individu élevé dans un bordel ! Votre : « Je te la ramènerai puis… » Alors, préparez-vous, le moment est arrivé. Moi, je ne frappe jamais par derrière ni sans avertir, ce qui a fait ma réputation au village, en déplaise aux lâches de votre belle-famille tout autant que vous. Quand j’aurais fini avec vous deux, je m’occuperai des lâches du village, beaucoup de lâches !
Je vous avertis que si je suis mort avant la fin du procès ou que le procès n’aurait pas lieu, j’ai un plan B qui s’intitule Le bal des mouches. Il suffit d’un seul clic et le tour est joué. J’avoue que je préfère cette solution, mais je suis trop légaliste pour y aller directement. Un dernier point : si votre fils n’est pas au courant de son statut d’adopté (ahthith), informez-le pour son bien.
À bon entendeur !
L’accusation
Je vous accuse, vous seul, de 42 chefs d’accusation répartis comme suit :
1 Réunion de famille organisée à ma mère : (Intimidation : reste à établir le Nombre de chefs d’accusation)
2 Vous êtes venu jusqu’à la proximité de notre propriété (à établir avec l’avocat)
3 « Moi je vais perdre l’argent de l’avocat pour toi ! » Sous-entendu que vous préférez la violence dont vous avez usé ensuite (à établir lors du procès)
4 « Tu n’es pas un homme ! tu n’as pas de moustache ! tu es une femme ! » (3 insultes)
5 « Il n’est pas un homme ! Il n’a pas de moustache ! Il est une femme ! » (3 insultes) Que vous criez à l’assistance, ma famille et d’autres villageois
6 « Toi, tu as de l’argent ! » (à établir avec l’avocat)
7 « Il n’est pas un homme, c’est une femme ! il n’a pas honte ! Il courre après ma femme et il a une fille ! S’il ne laisse pas tranquille ma femme, il passera par ma main, je le jure. (3 insultes + 1 diffamation + 1 menace de mort)
8 Après un moment de discussion avec l’assistance qui vous suppliait de partir, vous répétiez les mêmes propos : « Il n’est pas un homme, c’est une femme ! il n’a pas honte. Il courre après ma femme et il a une fille ! S’il ne laisse pas tranquille ma femme, il passera par ma main, je le jure. » ( 3 insultes + 1 diffamation + 1 menace de mort)
9 Encore les mêmes propos, comme si vous étiez ivre de votre lâcheté. ( 3 insultes + 1 diffamation + 1 menace de mort)
10 Vous me frappez au visage violemment. (1 agression)
11 Vous donniez votre version étriquée à M. K***, un enseignant d’arabe, ancien collègue de votre femme. (dénigrements : reste à établir le nombre de chefs d’accusation)
12 À la sortie du village, quand je vous ai barrés la route, à vous et le lâche de votre beau-frère : « Tu es un malade. Un malade ! » (2 insultes, plutôt à établir avec l’avocat)
13 « Tu n’as pas de moustache ! Tu n’es pas un homme ! tu es une femme ! » (3 insultes)
14 « Tu veux saper son moral ! Tu t’attaques à une pauvre femme ! » (2 diffamations). Vous devez ramener vos preuves et le mémoire que je lui ai envoyé est clean.
15 « Toi un écrivain ? Un idiot, oui. » (1 insulte)
16 Vous disiez : « Pourquoi tout cela ? C’est de la diffamation ! » (1 diffamation)
17 « Moi perdre l’argent de l’avocat pour toi ! » Sous-entendu vous préférez la violence. (à établir lors du procès)
18 « Hé ! Je vais te la ramener pour t’exciter, ensuite je… » (à établir avec l’avocat).
NB Vous ne me l’avez pas ramenée… C’est ça votre parole, vous tenez juste les actes lâches comme votre espèce ?
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3. Ahlil 1,2,3
Ce qui suivra est un contenu délirant d’une manipulatrice qui n’hésite pas à envoyer ses bouldogues contre les gens bien qui, et qui s’énivre de son comportement maladif ou je ne sais quoi.
J’ai divisé le contenu en trois parties pour des raisons de compréhension vu sa longueur, intitulé Ahlil volumes 1 à 3. Ahlil, un mot berbère, se dit d’une personne qui vit dans une bulle, refuse de reconnaître la réalité, un schizophrène peut-être. Dans un autre sens, il signifie « malheureux ».
Ahlil volume 1 contient un panorama de 278 visuels (image avec message) d’amour, juste pour moi, imaginaires, dirait-elle, certains publiés tardivement le soir, alors qu’elle dormait à côté de son homme. 🎞️
Dans Ahlil volume 2, j’ai téléchargé tous ses messages publiés sur le mur de son compte Facebook de 2012 à 2016, année de la rupture de tout contact avec elle. En fait depuis 1994 et 1996 elle ne cessait de nier sa manipulation. Elle venait de récidiver vingt ans après, ce qui prouve que si elle avait agi ainsi à ses 50 ans, elle l’avait surement fait à ses 30 ans. 🖋️
Ahlil volume 3 est une suite qui contient mes écrits dans lesquels je n’arrêtais pas de lui dire que tous les coupables, y compris elle, passeraient en justice, celle des hommes, sinon la mienne : l’écriture ; la vengeance, je l’ai effacée de mon registre dès mon jeune âge. Vous verrez, c’est fascinant comme spécimen. 🖋️
Par cette vidéo je veux dire à la coupable que je ne lâche jamais le morceau quitte à y laisser mes dents ou ma machoire. ▶️