TPAMA site
L’idée de la création de ce site datait de la moitié de l’année 2000, inspirée par l’angoisse que mes œuvres dont le premier jet était réalisé se perdissent… Je vivais alors dans un ghetto plutôt qu’un pays. À cette époque, je ne voulais en informer personne, pas même mes proches, pour maintes raisons trop longues, voire inutiles, à citer ici, que je résume en ceci : le règne de la terreur d’alors me poussait à cacher tout ce que je faisais. J’avais d’ailleurs souffert de la paranoïa (de journaliste) du temps de la décennie noire (Algérie) puisque les terrorismes, islamiste, étatique et tant d’autres avaient fait des hommes de plume une cible à abattre. Pis, l’autorité (étatique) s’était tellement effritée que la lâcheté montrait des crocs à chaque coin de rue contre tout ce qui sentait juste et bon ; je ne sortais de chez moi que pour un besoin pressant, ou le soir pour changer d’air, tout en me méfiant de tout et de rien. Je consultais un psy qui me « gavait », à juste titre, de sédatifs nerveux associés parfois à des antidépresseurs…
Curieusement, c’était les années d’une inspiration prolifique, qui m’ont procuré des plaisirs intenses, durant lesquelles j’avais rédigé plusieurs manuscrits de différents genres, dont vous trouverez les canevas dans la rubrique MES ECRITS. Puis c’était le vide depuis 2006 jusqu’à 2012 qui s’est aggravé depuis que je vis en France de 2014 à 2020, la période de ma décision de créer ce site au point que j’ai commencé avec le codage (HTML 5, CSS 3 et JavaScript), qui coûte un temps fou pour créer et gérer un site, quoique ce soit la meilleure façon, puis abandonné à l’appartion en 2021 des CMS, clés en main, une sorte de hangar vide qu’il suffit de séparer et de meubler avec, certes, au moins un décor sobre.
Aujourd’hui, créer ce site à cet effet n’est plus d’actualité. Cependant, comme mes érits sont tous des pierres pour la réhabilitation et la valorisation de la dimension berbère (identité, langue, culture et civilisation), le site est devenu une priorité. J’en ferais une vitrine pour mmon projet d’écriture. Je compte y cristalliser un lectorat puis le fidéliser, récupérer celui que j’avais au pays et perdu depuis, quelques centaines de lecteurs, disons la moitié des exemplaires que j’ai vendus de Jugurtha est de retour édité à mon compte, réintitulé Jugurtha revient, en vente actuellement, estimant qu’une phrase active est plus percutante pour l’esprit du roman. J’y ferais aussi un havre de tout ce que je ne peux pas publier sous forme d’œuvre, et puis nous tâcherons qu’il brille de mille et une lueurs…
TPAMA entreprise individuelle
Selon la législation française tout auteur-artiste qui publie une oeuvre littériare ou autre et la propose pour la vente doit justifier d’un statut juridique adéquat, donc créér une entreprise pour se couvrir au vu des impôts et des cotisations pour la vieillesse ou la retraite surtout si l’on n’est pas assuré.
Avril 2025 j’ai créé l’entreprise portant l’acronyme TPAMA dont l’activité débutera le 1er juillet 2025. Voici ses coordonnées que l’on retrouvr en ligne dans le site gouv.fr du gouvernement
N° Siren 943274241
N° Siret 943274241 00018
Domiciliation 1 rue Manguerin 75014
TPAMA boutique
A l’avenir, ce site deviendra une boutique en ligne en .com. Je tacherai de vendre mes livres ; ainsi je démarcherai les imprimeurs puis j’enverrai les commandes moi-même. Certes, les ventes s’étendront à d’autres produits comme les figurines de mes personnages comme Jugurtha, Zorane, Bouyaghsen ; l’impression de ces figurine, du logo de TPAMA et de ses slogans genre « qui s’y frotte s’y pique » un slogan de la défunte académie berbère que je veux faire revivre, des autocollants, sur des habits et des objets tels les bols (mugs).
Notez Bien
Comme j’ai utilisé beaucoup Internet et que mes sources sont toutes des liens, si l’un d’eux ne fonctionne pas ou que son contenu ne s’affiche pas ou est supprimé, je vous prie, tout en vous remerciant, de m’en informer à travers la rubrique CONTACT affichée dans le pied de page. Pour l’instant, je manque d’espace de stockage pour les fichiers volumineux, en exemple les vidéos, que je ne peux sauvegarder dans la bibliothèque du site pour ne pas l’alourdir et rebuter mon futur lectorat et les visiteurs, un souci auquel je remédierai à l’avenir.